OGC Nice : Clauss tourné en ridicule après la défaite contre Angers

Jonathan Clauss (OGC Nice)
William Tertrin
7 décembre 2025

Face à Angers, l’OGC Nice a vécu un match très compliqué, tout comme Jonathan Clauss, complètement dépassé face au maestro Himad Abdelli.

Dimanche, au stade de l’Allianz Riviera, l’équipe de l’OGC Nice a une nouvelle fois chuté face à Angers SCO (0-1), creusant un peu plus la crise qui pèse sur le club. Un scénario déjà inquiétant pour les Aiglons — mais c’est une séquence en particulier qui a focalisé l’attention des supporters et des médias : un geste de l’Angevin Himad Abdelli contre le latéral niçois Jonathan Clauss, jugé humiliant et révélateur des lacunes défensives du Gym.

Clauss ridiculisé, les supporters se moquent

En effet, après une longue séquence où le SCO a remporté plusieurs seconds ballons consécutivement, Himad Abdelli a humilié Clauss avec un rateau suivi d’un débordement dans la surface — un geste sans conséquence mais tout de même impactant. Cette action a cristallisé les critiques moqueuses des supporters sur X : pour beaucoup, elle ne représente pas seulement un duel perdu, mais l’incarnation d’un déséquilibre structurel dans la défense niçoise — un manque de réactivité, de sang-froid, et d’agressivité défensive.

Même si l’action n’a pas mené à un carton ou une sanction immédiate, l’image de Clauss « ridiculisé » a provoqué un malaise autour de son statut et de sa performance sur le flanc gauche.

Une action qui symbolise les fragilités de Nice

Au-delà de cette semelle, le match a confirmé les fragilités globales de Nice. Dans ce contexte, le geste d’Abdelli ne passe plus pour un simple duel défensif : il devient le reflet d’un manque de maîtrise et d’une nervosité de plus en plus visible chez les Aiglons.

De nombreux supporters, commentateurs et suiveurs du championnat ont vu dans cette image — Clauss battu, humilié — une illustration de la crise profonde que traverse Nice. Certains évoquent non seulement la faible prestation du joueur, mais l’absence de solidarité collective, de repères défensifs, voire un déficit de confiance.

L’image tourne, circule, choque — et finit par peser, dans un club où le moral et les résultats sont déjà en berne…

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