Si la Coupe du monde de rugby a démarré vendredi avec France – Nouvelle-Zélande au stade de France, de nombreux stades de Ligue 1 (le Vélodrome, le Groupama Stadium, le Stadium, la Beaujoire, le Decathlon Arena) et de Ligue 2 (Geoffroy-Guichard, le Matmut Atlantique) vont être mis à profit pour la grande messe du ballon ovale avec une grosse crainte pour les habituels locataires des lieux : que les terrains se transforment en champs de patates.
Pierre Ménès met la pression… sur les jardiniers
Comme on a notamment pu le voir lors d’Italie – Namibie, un match joué sous la chaleur en début d’après-midi, la pelouse du Chaudron avait déjà beaucoup souffert de la première de ses quatre mises à l’épreuve du rugby.
De quoi redouter un retour compliqué dans leur stade pour les Verts et les autres clubs concernés ? Pour Pierre Ménès, qui s'est exprimé sur sa chaîne YouTube, il n’y a pas encore lieu de s’inquiéter : « Cela va dépendre la qualité des jardiniers… Si les jardiniers travaillent bien, cela peut se corriger rapidement. Là, les premiers matchs ont lieu à une période extrêmement chaude. C’est une question de conscience professionnelle et de qualité de travail derrière pour remettre ça en l’état… »
Dans certains coins de France, et notamment du côté de Marseille, on s’inquiète déjà de la manière dont l’OM va récupérer son terrain…