La décision de la DNCG, dans le dossier de l’OL, est qu’il n’y en a pas. Mais le sursis à statuer, annoncé par l’instance de contrôle en début de soirée, hier, n’est pas forcément une mauvaise nouvelle pour l’OL. Sous réserves « de nouveaux éléments », celle-ci pourrait permettre en effet au club rhodanien de voir se lever les sanctions de l’été qui encadraient sa masse salariale et ses transferts.
Pour défendre son dossier, John Textor a présenté le refinancement de la dette d’OLG, dont la banque Goldman Sachs a désormais la charge. Ce refinancement se monterait au total à 385 M€, 320 M€ pour reprendre la dette qui était auparavant détenue par treize banques, et 65 M€ de cash disponible.