Sur les changements de programme
« On était parti dans un premier temps sur un programme d'une semaine, on avait envisagé de reprendre lundi. Il semblerait que ce ne soit pas possible. Donc on réfléchit de nouveau avec les préparateurs physiques sur un allongement du programme et un scénario, au pire, à quatre semaines, en définissant au mieux la charge de travail. On est encore un peu dans le flou. On hiérarchise les priorités ».
Sur une préparation accélérée au retour du break
« On va se retrouver dans une situation de tràªve estivale si on est à l'arràªt pendant quatre ou cinq semaines, mais sans avoir beaucoup de temps derrière pour pouvoir s'organiser. On fera peut-àªtre quelques matches amicaux, mais moins que lors d'une période de préparation. Mais surtout, cette absolue nécessité d'àªtre pràªt tout de suite et de performer pendant sept semaines sans baisse de régime ».
Sur le retour des blessés (Grenier, Martin)
« à‡a va permettre à ces joueurs-là de retrouver le groupe à la reprise. Après, entre le retrouver et pouvoir performer immédiatement dans un laps de temps très court, c'est une autre problématique. Mais oui, pour eux, à§a va leur permettre d'avoir le temps nécessaire pour terminer leur réathlétisation et certainement reprendre les séances collectives quand on en aura le droit ».
Une fin de saison en juillet ?
« Je peux l'imaginer. Imaginer un format avec des matches en juin et terminer en juillet, oui, éventuellement. Mais une des problématiques serait celle des joueurs en fin de contrat au 30 juin. C'est une donnée qui devrait alors àªtre réglée si jamais à§a devait arriver ».
Un casse-tàªte à relativiser malgré tout
« Quand on voit ce qu’il se passe aujourd’hui, les drames, les malheurs dans certaines familles, le dévouement de tout le personnel hospitalier qui s’occupe de tous ces malades, à§a permet de relativiser certaines de nos problématiques ».