Rudi Garcia a donc choisi le 8e de finale de Ligue des Champions, face à la Juventus Turin, pour effectuer sa tournée des médias. L’entraà®neur de l’OL est partout, pressé, sans doute, de rappeler quelques vérités, et de laisser croire aux supporters lyonnais que l’avenir s’annonce bien.
Dans les colonnes de France Football, cette fois, l’ancien marseillais s’est arràªte sur divers dossiers. Et notamment sur sa cote de popularité, pas nécessairement très importante, que ce soit à Lyon ou ailleurs.
‘Oui, il y a eu du Garcia Bashing. C’est évident, mais c’est la société qui est comme à§a, pas seulement le football. On le voit tous les jours avec des hommes politiques, des patrons de grandes boà®tes… Je ne vais pas faire le vieux combattant, mais le monde médiatique actuel est très particulier. Tout le monde peut s’improviser journaliste sans en avoir les compétences et porter un jugement en tapant sur son téléphone. Il y a des choses qui peuvent àªtre blessantes pour la famille. Moi, aujourd’hui, j’ai le cuir épais. Quand tu as entraà®né à Rome, tu peux entraà®ner partout.’
‘Notre classement n’est pas acceptable. Et pas en rapport avec les ambitions du club’
Avant d’évoquer la Ligue 1, les objectifs et sa relation avec le président lyonnais, Jean-Michel Aulas. ‘Notre classement n’est pas acceptable. Et pas en rapport avec les ambitions du club. Quand on a un tel retard, on ne peut revenir qu’avec de la constance et de la régularité. Les joueurs le savent. Mais il ne faut plus traà®ner en route(…)Jacques-Henri Eyraud est un homme de grande qualité mais avec moins d’expérience que Jean-Michel Aulas . De l’extérieur, tu peux penser qu’il est omniprésent, mais pas du tout. Il a l’intelligence de ne pas àªtre intrusif. En revanche, c’est un expert en management. Quand tu lui donnes les infos, il est capable de te donner un conseil qui te sera super utile. Il possède une expérience de sage. C’est aussi simple que à§a.’