But : Jordan, cette saison a été plus difficile que la précédente, avec la descente de la réserve…
Jordan HALAIMIA : C’est sûr que ce n’était pas facile. On a joué jeune. On manquait d’expérience. On marquait peu et on prenait des buts sur la fin. En plus, je me suis blessé en décembre, une infection de la jambe, et quand je suis revenu je me suis fait une déchirure. C’est rare. Je suis rarement blessé. Jusqu’ici j’avais toujours fait des saisons pleines.
Comment voyez-vous votre avenir ?
La crise sanitaire ralentit un peu tout mais j’espère trouver une équipe à la hauteur de mes attentes. J’espère trouver ce que je recherche.
Et que recherchez-vous ?
Un club qui me fasse confiance, qui mise sur moi, et à qui je pourrai renvoyer la pareille.
L’étranger vous attire ?
Je ne suis pas contre. à‡a reste à voir. Le plus important, c’est le challenge, qu’il me plaise, que j’aille dans un club où je me sentirai bien. Je quitte l’ASSE mais ce n’est pas pour à§a que tout s’arràªte. Je vois plus à§a comme le début d’une nouvelle aventure.
Quels coachs avez-vous envie de remercier ?
A l’école de foot, c’était plus du loisir que de la compétition mais un coach comme Georges Mariez m’a appris les bases. Après, j’ai beaucoup apprécié Jean-Philippe Primard màªme si je ne l’ai pas eu très longtemps vu que j’étais surclassé en U19. Et on a vécu de grands moments avec Lionel Vaillant et Gilles Rodriguez, la finale contre Paris. Ils formaient un super duo tous les deux. Ils nous ont mis sur les bons rails. Et Bien sûr j’ai pris énormément de plaisir avec Razik Nedder. Cette aventure en Gambardella, c’était magique !