Girondins : Riolo se paye King Street

On vous en parlait récemment sur notre site : les Girondins de Bordeaux ont un potentiel repreneur. Son nom ? Bruno Fievet, homme d’affaires, qui fait le tour des médias depuis quelques jours afin de ‘vendre’ son projet. Ce dernier, à défaut de faire ràªver et de s’appuyer sur des dizaines de millions d’euros, souhaite rapprocher le club de ses supporters, à l’heure où l’actuel projet de King Street, avec Eduardo Macia au recrutement, est décrié par les supporters bordelais. Des supporters que Daniel Riolo rejoints.

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— FC Girondins de Bordeaux (@girondins) April 23, 2020

« La première étape, quand ce genre de chose arrive, un peu comme on le disait pour Bordeaux et pour certains clubs en France, màªme pour l'OM, c'est que tu n'as personne, a estimé le journaliste de RMC (propos retranscrits par Girondins4Ever). Tu n'as pas le gars qui incarne ton identité de base. Si ce genre de modèle se met en place, c'est parce que tu n'as plus personne qui vient dans le foot. Ensuite, màªme si tu as une belle aventure à un moment, comme à Monaco, tu sais que ce n'est qu'un été, une amourette de court terme. On sait que de toute faà§on c'est le business qui va prévaloir. »

« Ils ne sont là que pour faire du trading »

On l’a compris : les investisseurs étrangers, ce n’est pas la tasse de thé de Riolo… « Au final, à§a me dérange, tu es dans une économie nouvelle de tous ces clubs-là , d'un maximum de clubs qui vont àªtre achetés par des investisseurs, qui sont là pour faire du trading. On le voit de plus en plus en France, ils n'ont aucun attachement au club, et ils mettent à la tàªte des gens qui n'y connaissent que dalle. C'est du offshore. Sur tous ces aspects-là , je suis à 100% avec les supporters. Quand ton club est dirigé par des gens qui n'en ont rien à cirer”¦ ».