Il y a quelques semaines, le journaliste de France 2 Alexandre Paré est venu avec une équipe de tournage pour tourner un reportage pour l'émission « samedi 13h15 ». Nous l'avons interrogé sur cette expérience dans But! Lens.
Alexandre, racontez-nous votre expérience en Marek…C'est impressionnant. Voir une telle communion entre les supporters et leur équipe, vivre cette passion me semble assez unique. Ces paroles chantées par toute la tribune et tout le stade sont incroyables. Il est souvent reproché aux supporters franà§ais de ne pas avoir de répertoire pour pouvoir accompagner leur équipe. A Lens, ce n'est pas le cas. La variété entre les différents hymnes est assez formidable. On se croirait en Allemagne, en Angleterre, mais pas en France ! A Lens, le public et l'équipe ne font qu'un. C'est vraiment très chouette à voir !
Avez-vous chanté ? Vous àªtes-vous joint aux chants ?Après un moment, on s'étonne d'entrer dans la parie, de chanter. Il est difficile de rester spectateur. Quelle personne ne serait pas prise par l'ambiance ? On a beau s'imaginer simple spectateur, on entre dans le jeu, c'est extraordinaire.
Comment avez-vous senti l'ambiance ? Sympa, agressive, neutre ?Les gens venaient naturellement me voir pour parler de tout et de rien. On est màªme venu me faire la bise ! J'ai senti une belle atmosphère, quelque chose que l'on n'imagine pas quand on est extérieur au football. Ce que j'ai vécu va vrai- ment à l'encontre de l'image typique du supporter de football, un gars plutôt agressif. Il y a peut àªtre des endroits plus chauds, mais je ne les ai pas vus lors de ma visite. De très nombreuses personnes m'avaient dit qu'il s'agissait de moments uniques. Je l'ai effectivement ressenti.
Retrouvez l'intégralité de cette interview dans le dernier numéro de But! Lens, toujours en kiosques
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