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PSG : le Barà§a, David Luiz, le retour de Zlatan… Laurent Blanc fait le point

Battu 3-1 sur sa pelouse au match aller, le PSG aura besoin d’un miracle demain soir pour inverser la tendance face au FC Barcelone en quart de finale de la Ligue des champions.

Présent ce lundi en conférence de presse, l’entraà®neur du club de la capitale Laurent Blanc s’est confié avant ce grand rendez-vous.

Un exploit est-il possible ?

« Oui, on y croit. Mais on sait très bien que la tâche qui nous attend demain est extràªmement difficile. Je regrette qu'on n'ai pas eu beaucoup de temps pour préparer ce match, mais c'est comme à§a. C'est pareil pour Barcelone. On n'aura rien à perdre demain. On sait qu'il faut marquer des buts, et je sais qu'on aura la possibilité d'en marquer, j'en suis convaincu. Le seul problème avec Barcelone est qu'il faut surtout ne pas prendre de but. Et c'est quasiment impossible. (…) J'espère qu'on démontrera qu'on est meilleur que ce qu'on a montré à l'aller. Je veux qu'on montre qu'on sait rebondir. »

Le retour de Zlatan Ibrahimovic

« C'est un joueur qui ne doute pratiquement jamais. Ou en tout cas, il ne le montre pas. Il aime ce genre de matches. Il a eu un jour de repos après son dernier match. Il s'est entraà®né tous les jours. Paradoxalement, màªme s'il ne joue pas, il est dans une très grande forme. Je retrouve le joueur que nous avions l'année dernière, avec des appuis très vifs. C'est de bon augure. Il n'y a pas que la Ligue des champions comme objectif, on aura besoin de lui. »

Le calendrier

« Il ne manque pas que des joueurs sur le banc. Sur le terrain aussi. C'est la réalité. La saison est longue, les calendriers sont démentiels. Je trouve déplorable que plus tu avances dans la saison, plus le calendrier est rempli. C'est paradoxal. Barcelone est aussi dans ce cas. C'est dommage pour tout le monde. Quand je vois la préparation qu'on a eue pour un quart de finale retour de Ligue des Champions, je trouve c'est dommage. »

David Luiz doit faire mieux

« Il est conscient du match qu'il a fait à l’aller. Je ne veux pas lui donner de circonstances, mais il n'était pas apte à jouer. Il était sur le banc, mais pas pour jouer une heure dix. Ce n'était pas les meilleures conditions et à§a s'est vu. On n'a pas besoin de parler. Il sait qu'il devra àªtre plus costaud demain. C'est un grand professionnel. »

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