Devant la presse, le portier lyonnais a confirmé les propos de Hubert Fournier sur l’amélioration générale. « Tout va mieux. Ce qui s’est passé, ce sont des choses qui arrivent. La vie de groupe à Lyon n’est pas pire qu’ailleurs. Il y avait besoin de se parler les yeux dans les yeux, à§a a été fait. Cette semaine, il y avait de la bonne humeur et beaucoup de sourire. J’espère que cette histoire est derrière nous et qu’elle le restera. » Anthony Lopes a au passage glissé un petit tacle à la presse pour avoir, selon lui, créé une mauvaise ambiance. « Vous la presse, vous nous avez mis la pression. Vous avez dit que les recrues n’étaient pas adaptées, ce qui est totalement faux. »
Pour Lopes, la presse doit àªtre utilisée avec prudence
Anthony Lopes a d’ailleurs estimé que la presse devait àªtre utilisée avec prudence par tout le monde. « On peut se servir de la presse pour certaines choses, mais pas pour d’autres. » Ce que l’on pouvait prendre pour une pique masquée à Mapou Yanga-Mbiwa. Sous-entendu aussitôt stoppé par le portier lyonnais. « C’est un message pour tout le monde, màªme pour moi. Mapou a dit le choses qu’il avait à dire dans la presse. Personnellement à§a n’a rien changé pour moi. Mapou est un joueur important pour nous. »
Pas de clans selon Lopes
Anthony Lopes, enfin, a tenu a démentir fermement l’existence de clans entre les anciens Lyonnais et les recrues. « Il n’y a aucun clan. Ni celui des Lyonnais, ni le clan des recrues. Simplement, il y a eu énormément d’arrivées. Pour les joueurs de Lyon, cinq-six recrues en une saison c’est nouveau. Mais en aucun cas on les a mis de côté, les affinités sont présentes. Peut-àªtre que les recrues l’ont pris come tel. Ce n’est pas mon cas. »
Avec Alexandre Corboz, notre envoyé spécial à Tola-Vologe