PSG : les 3 raisons de ne pas s’affoler après la défaite face à Monaco (0-2)

Mais pas de quoi s’inquiéter pour le PSG.

Le club de la capitale aurait dû mener au bout de 4 minutes

Certes, la décision était très difficile à prendre pour l’arbitre assistant et il serait déplacé de lui reprocher son erreur. Mais il n’empàªche que le PSG aurait dû mener au bout de quelques minutes seulement, quand Zlatan Ibrahimovic a hérité d’une ballon dans la surface après une frappe de Di Maria. Màªme si Subasic était avancé, il couvrait le Suédois juste ce qu’il fallait. Le club de la capitale aurait dû donc àªtre très rapidement récompensé de son emprise sur le jeu. L’arbitre en a décidé autrement.

Les jambes ont manqué après un premier acte magnifique

En deuxième période, on a vite senti que le PSG n’avait pas vraiment les jambes après un premier acte remarquable. Parce qu’avant la pause, il n’a manqué qu’un but aux Parisiens qui ont dominé l’AS Monaco de manière magnifique. En terme d’utilisation du ballon et de récupération, les joueurs de la capitale ont excellé mais ont manqué de réalisme. Par la suite, c’est un déficit physique qui les a plombés. Mais après une telle période de matchs enchaà®nés, une qualification pour les quarts de finale, cette baisse de régime est bien compréhensible.

Monaco a eu une réussite maximale

Ce soir, l’AS Monaco a tout eu pour lui. Un but rapidement refusé alors qu’il était valable, des occasions étonnamment loupées de la part de Zlatan Ibrahimovic qui a pourtant eu des opportunités énormes. Mais surtout, Monaco a fait preuve d’un réalisme désarmant quand il en a eu l’occasion. En trois minutes après l’heure de jeu, les Monégasques ont réussi à plier l’affaire, face à des Parisiens qui n’avaient pas la force mentale et physique de réagir. Neuf fois sur dix, le PSG aurait gagné ce match. Monaco a parfaitement su saisir sa chance.