Dans un long entretien accordé à L'Equipe, Jérémy Toulalan – dont la parole est rare – a tordu le cou à cette image de clubs peinards et de dirigeants gentils.
« Durant la première partie de saison, on a été convoqués, les cadres, et Vadim Vasilyev n'a pas rigolé : on n'a màªme pas eu le temps de parler. Il a dit ce qu'il avait à nous dire et il est parti. J'ai l'impression que les Qatariens ont une autre approche : ils sanctionnent, mais après. Les Russes sont plus impatients, plus directs, ils ne prennent pas de gants. A Lyon, le président Aulas était plus arrondi », a commenté le milieu défensif monégasque, auteur d'une très belle saison.
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