FC Barcelone : les plus belles perles de l’année 2013

But Football Club a compilé le Top 10 des petites phrases concernant le FC Barcelone tout au long de cette année 2013. Eric Abidal, Neymar, Josep Guardiola… Tout y passe !

25 juin : Cruff arrose le duo Messi-Neymar

La phrase : « Neymar acheté, j'aurais pensé à vendre Messi. On parle d'une équipe, de ses joueurs, de leurs entourages, de leurs intéràªts”¦ Personnellement, je n'aurai pas pris le risque de recruter Neymar » (Sport)

Le contexte : Johan Cruyff affirme tout haut ce que certains pensent tout bas. Selon lui, la doublette Messi-Neymar n'a pas d'avenir. Pour l'instant, l'ancien entraà®neur du grand Barà§a se trompe puisque c'est màªme plutôt Neymar qui tire l'équipe vers le haut.

11 juillet : Guardiola se paye Sandro Rosell

La phrase : « Je suis allé vivre à 6000 kilomètres de Barcelone et j’ai demandé au président de me laisser tranquille mais il n’a pas réussi. Il n’a pas tenu sa parole » (Bild)

Le contexte : Dans les médias, Sandro Rosell a sèchement taclé Josep Guardiola, dont le président du FC Barcelone n'était plus proche depuis des mois en Catalogne car il lui reproche son entente avec son ennemi Johan Cruyff. L'histoire s'est arràªtée net. Pour le moment…

16 juillet : quand Sandro Rosell voulait Thiago Silva

La phrase : « J’ai déjà dit que nous voulons tous Thiago Silva. Ce n’est pas une question de prix pour lui. C’est à§a le problème. L’argent n’est pas important pour le PSG ». (Sport)

Le contexte : Le FC Barcelone cherche à renforcer sa défense centrale, vacillante et âgée, et a jeté son dévolu sur Thiago Silva, déjà convoité un an auparavant. Le Brésilien refusera l'offre et prolongera au PSG après une forte revalorisation salariale à la clé.

20 juillet : Rosell blinde Messi et Iniesta

La phrase : « Le Barca est un club d’achat, pas un club de vente. Si quelqu’un veut acheter Andres Iniesta ou Lionel Messi, ils n’ont pas de prix (…) Les meilleurs joueurs sont toujours les mieux payés avec nous. C’est difficile pour un petit club d’àªtre en mesure de payer leurs salaires ». (Conférence de presse)

Le contexte : Des rumeurs sur des possibles approches concernant Lionel Messi et Andres Iniesta affleurent à cause de leurs prolongations de contrat qui tardent à venir. Les courtisans sont douchés mais, encore aujourd'hui, leur cas respectif n'est pas réglé.

25 août : Martino arrive et met les pieds dans le plat…

La phrase : « Gareth Bale me paraà®t un bon joueur mais le chiffre qui circule [100 millions d'euros, ndlr] autour de son transfert à Madrid est un manque de respect envers le monde en général ». (Conférence de presse)

Le contexte : L'entraà®neur argentin Gerardo « Tata » Martino vient de débarquer au FC Barcelone mais ne connaà®t pas encore les codes du football européen. Il pointe donc du doigt le prix du transfert de Gareth Bale au Real Madrid. Maladresse.

27 août : Messi, l'idole de Neymar

La phrase : « Cristiano Ronaldo est un phénomène, c'est un craque. Il n'y a rien à dire, il m'inspire beaucoup comme joueur tout comme Messi d'ailleurs, qui est une idole. Messi a toujours été une de mes idoles surtout maintenant que j'ai la chance de pouvoir jouer avec lui tous les jours » (Conférence de presse)

Le contexte : Neymar, plus gros transfert estival du FC Barcelone, sait que les mauvaises langues vont parler sur sa relation avec Lionel Messi. Pour couper l'herbe sous le pied de ses détracteurs, le Brésilien met les choses au clair. Malin.

6 septembre : la petite bombe d'Eric Abidal

La phrase : « Ce qui a été difficile à comprendre, c'est le discours du Barà§a en affirmant que c'était un choix professionnel. Ce n'était màªme pas une histoire d'argent. La preuve, c'est que tous les mois où j'étais malade, le club ne m'a pas payé ». (L'Equipe)

Le contexte : Joueur de l'AS Monaco, Eric Abidal se lâche sur le FC Barcelone, avec qui il semblait pourtant parti en bons termes. Le club catalan, quelques heures plus tard, démentira ses propos. On ne saura jamais vraiment qui dit vrai dans l'histoire.

3 octobre : Iniesta s'est fait une raison pour Valdés

La phrase : « Pour Valdés, on ne peut rien y faire, ce n'est pas une question de convaincre ou non. Qu'est-ce que je pourrais dire à Victor ? Au final, c'est une question personnelle et je la respecte parce que c'est mon meilleur ami dans le vestiaire ».

Le contexte : Victor Valdés n'en démord pas, il quittera le FC Barcelone quand son contrat expirera en fin de saison. Le vestiaire catalan, qui perd l'un de ses piliers, est effondré. Aujourd'hui, personne ne sait vraiment où le gardien espagnol atterrira.

21 novembre : Piqué admire Cristiano Ronaldo

La phrase : « Cristiano, je lui mets la note de 10 en tant que coéquipier. J’admire le professionnel et la personne parce que c’est un exemple à suivre ». (Esport3)

Le contexte : Le choix du Ballon d'Or est déjà dans toutes les tàªtes et chacun défend son propre camp. Gerard Piqué, qui a l'art du contre-pied, vante les mérites de son ancien partenaire à Manchester United, Cristiano Ronaldo. Ce n'est pas la première fois mais à§a surprend toujours.

6 décembre : Daniel Alves descend Cristiano Ronaldo

La phrase : « Pour le Ballon d’Or, je voterais Messi, Ribéry et Neymar. Marquer beaucoup de buts, Cristiano l’a toujours fait. Mais combien ont été importants ? Marquer en barrages contre la Suède, malgré tout le respect que j’ai pour cette équipe, en quoi est-ce important ? Pour moi, le vrai mérite c’est de se qualifier directement pour le Mondial » (Mundo Deportivo).

Le contexte : Le Top 3 du futur Ballon d'Or n'est pas encore révélé mais Daniel Alves, coéquipier et ami de Lionel Messi, ne rate pas une occasion pour le louer et descendre Cristiano Ronaldo. En s'attaquant indirectement à Zlatan Ibrahimovic, de surcroà®t…

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