Cela demande confirmation !
A Paris, certains commenà§aient à se demander si Ezequiel Lavezzi n’allait pas devenir, comme son compatriote Javier Pastore, un flop retentissant du recrutement ‘Made in Qatar’ du club de la Capitale. Mais hier soir, en Ukraine, l’attaquant argentin a remis les pendules à l’heure. Ses deux bits ont permis au PSG de battre le Dynamo Kiev, mais surtout de valider son billet pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Une vraie bouffée d’oxygène après la grosse déconvenue subi face à Rennes, samedi dernier.
Il vole la vedette à Ibra
Alors que l’on attendait le grand retour d’Ibrahimovic sous les couleurs parisiennes après son fabuleux quadruplé avec la Suède en Angleterre, c’est bien Lavezzi qui a crevé l’écran. Pour la première fois de la saison, on a vu le joueur teigneux et efficace, deux qualités qui avaient fait de lui l’une des stars du Calcio avec Naples. Et qui avaient incité les dirigeants de QSI à débourser pas moins de 26 M€ pour se l’offrir, lors du mercato estival.
Une arme supplémentaire
Enfin débarrassé de ses pépins physiques, l’avant-centre argentin retrouve son meilleur niveau, et ce n’est pas Leonardo qui va s’en plaindre. ‘Ce n’était pas un match facile et Lavezzi a été extraordinaire. Son premier but a changé la face du match’, s’est enthousiasmé le manager brésilien hier soir. Désormais, l’ancien Napolitain est une arme supplémentaire dans l’impressionnante collection parisienne. Il s’agira simplement de l’utiliser à bon escient. N’est-ce pas, M. Ancelotti ?
A. B.
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