Le feuilleton Matthieu Udol traîne en longueur, à l’instar de celui d’une autre priorité estivale des Verts, Irvin Cardona, toujours à Augsburg. Mais même si la latéral gauche messin a encore été titularisé hier lors de la victoire des Lorrains contre Wiesbaden (2-0) en match amical, avec le brassard, l’hebdomadaire lorrain La Semaine est convaincu qu’il finira par être libéré par son club, et qu’il rejoindra le Forez.
« Il ne sert à rien de retenir à un joueur contre son gré »
« Après 9 saisons professionnelles en Moselle, Il aspire logiquement à autre chose en rejoignant Saint-Étienne, écrit le média. Matthieu Udol n’est ni du genre à bouder si son transfert dans le transfert dans le Forez venait à capoter. Mais il ne sert à rien de retenir à un joueur contre son gré. Il a déjà la tête ailleurs et passera forcément par une période de doutes à un moment donné s’il reste à Metz. C’est humain et il se posera un tas questions. Pourquoi certains ont-ils eu droit à un bon de sortie et pas moi ? Pourquoi suis-je encore là ? Malgré son professionnalisme, il ne sera pas 100 % focus sur sa saison avec les Grenats ». Et à La Semaine d’ajouter… « Matthieu Udol sait mieux que quiconque qu’une carrière est courte et peut s’arrêter du jour au lendemain. À 28 ans et avec ses états de service, il est légitime qu’il réclame un bon de sortie. Le FC Metz ne peut pas le retenir si c’est sa décision et ne doit pas se montrer trop gourmand. Il doit aussi s’y retrouver financièrement. Si Saint-Etienne met environ 2 millions d’euros sur la table, il n’y a pas de raison de refuser cette offre. À condition de conserver d’un autre côté Fali Candé, le remplaçant naturel au poste de latéral gauche de Matthieu Udol. » Un vrai plaidoyer pour le départ d’Udol !
Pour résumer
Selon le média lorrain La Semaine, le FC Metz ne pourra pas retenir Matthieu Udol, qui veut rejoindre l’ASSE. « Le FC Metz ne peut pas le retenir si c’est sa décision et ne doit pas se montrer trop gourmand. Il doit aussi s’y retrouver financièrement. Si Saint-Etienne met environ 2 millions d’euros sur la table, il n’y a pas de raison de refuser cette offre ».