Une solution radicale que regrette le président de l’OL Jean-Michel Aulas, qui avait pourtant tenté de trouver un compromis.
‘Ma proposition, c’était de demander, quand on n’a pas son siège social en France, à ce qu’on s’engage à prendre un minimum de joueurs franà§ais qui eux, fiscalement, ont les màªmes contraintes, et limiter le nombre de joueurs étrangers qui ne payent pas d’impôts. (…) Là , le Conseil d’à‰tat peut trancher de manière très nette alors que par la décision, on aurait pu aboutir à des choses plus réalistes‘ , a déploré le dirigeant rhodanien après le match de son équipe à Nice (1-1) dimanche.
Rappelons que la FFF, de son côté, aurait réclamé 200 millions d’euros à l’ASM pour l’autoriser à rester dans la Principauté.