Dans son édition du jour, L’Equipe est revenu sur un sujet relativement sensible à l’AS Saint-Etienne : les salaires. Avec un salaire moyen à 84 000€ (au dessus des émoluments de Jean-Louis Gasset, 11e au classement des coachs avec 80 000€ par mois), les Verts s’affichent au 6e rang franà§ais.
M’Vila et Khazri passent les 200 000€ par mois
Le quotidien sportif le confirme : si le système de prime est toujours bien présent, le Salary Cap n’existe plus du tout dans le Forez. Ainsi, Yann M’Vila et Wahbi Khazri, touchent tous les deux 210 000€ brut par mois en salaire. Stéphane Ruffier et Neven Subotic suivent à 180 000€. Rémy Cabella complète le Top 5 avec 175 000€ mensuel. Derrière, avec 125 000€, Mathieu Debuchy est le 6e joueur au dessus de l’ancien cap fixé à 90 000€ où plafonne encore Loà¯c Perrin et Loà¯s Diony.
Un système de primes très élaboré
Chaque joueur touche une prime annuelle fixe qui peut faire gonfler certains salaires. Ainsi, Yann M’Vila ou Wahbi Khazri coûteraient tous deux au club 4 M€ par an. Des primes de performances et de résultats sont aussi incluses. Par exemple, Loà¯c Perrin toucherait 26 000€ par match au delà de son 20e match joué sur une saison. D’autres trentenaires (Debuchy, Hamouma, Monnet-Paquet) sont indexés sur ce régime.
Si les primes de match ne sont pas touchés par tous les joueurs (Khazri et Cabella y ont renoncé), tous les éléments de l’effectif sont intéressés sur le classement. Une gratification qui peut aller de 100 000€ par tàªte pour la 5e place à 250 000€ si les Verts venaient à décrocher un très hypothétique titre de champion.
Arnaud Carond