Si les trêves internationales sont souvent l’occasion pour les joueurs internationaux de briller, cela peut s’avérer un vrai casse-tête pour les entraîneurs… et une accumulation assez dingue de fatigue pour les joueurs. Exemple concret avec le cas Ben Old.
S’il a marqué des points avant la trêve lors d’ASSE – AJ Auxerre (3-1), il est assez peu probable que Ben Old ne soit titulaire contre le RC Lens samedi prochain à 19 heures. En effet, comme il est l’international stéphanois à la nationalité la plus « exotique » (Néo-zélandais), l’ancien joueur des Wellington Phoenix doit composer avec des rassemblements internationaux à rallonge.
Apparu 72 minutes à Port-Vila (capitale du Vanuatu) pour un match qualificatif pour le Mondial 2026 contre Tahiti (3-0) et (normalement) attendu du côté d’Auckland pour un Nouvelle-Zélande – Malaisie en amical lundi à 8 heures du matin heure française, le « kiwi » va cumuler un jet-lag assez dingue pour ces deux rencontres (à voir si l’ASSE parvient à faire sauter la seconde…).
En effet, il faut, selon nos recherches, au minimum 2 jours et 38 minutes de vol pour couvrir les distances entre Saint-Etienne, Port-Vila et Auckland … Et revenir dans le Forez. Sur cette période, l’ailier des Verts aura cumulé les miles avec 37460 kms de vol en l’espace de deux semaines.
Heureusement qu’il n’a que 22 ans et une sacrée santé puisqu’il devra sans doute remettre ça en novembre avec la réception du Vanuatu à Hamilton (Nouvelle-Zélande) seulement cinq jours après le derby à Lyon et un match face aux Samoa trois jours plus tard à Auckland. C’est malheureusement le prix quand on est le premier joueur des All-White à briller en Ligue 1…
Si les trêves internationales sont souvent l’occasion pour les joueurs internationaux de briller, cela peut s’avérer un vrai casse-tête pour les entraîneurs… et une accumulation assez dingue de fatigue pour les joueurs. Exemple concret avec le cas Ben Old que l'ASSE va devoir gérer.
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