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Ligue 1

PSG : les 4 miracles de la qualification à Lorient (1-0)

Le PSG disputera la finale de la Coupe de France après sa victoire sur le terrain du FC Lorient (1-0).

Mais les hommes de Laurent Blanc s’en sortent très bien…

Une prestation médiocre

Il serait évidemment exagéré de parler de hold-up, le club de la capitale ayant eu la possession du ballon une bonne partie de la rencontre. Mais justement, de ce ballon, Angel Di Maria et sa bande n’en ont pas fait grand-chose. Déchet technique, manque de mouvement, lenteur dans les prises de décision… Le quadruple champion de France a livré l’une de ses prestations les plus pauvres de la saison. Et certaines individualités (l’international argentin, Edinson Cavani) ont à nouveau déà§u.

Il y avait penalty sur Guerreiro

Les supporters bretons rumineront longtemps la décision de M. Moreira de ne pas accorder un penalty à leur équipe lorsque Raphaël Guerreiro, à la 33e minute, a tenté un débordement sur le côté gauche de la surface parisienne. En voulant le tacler, Marquinhos a touché les chevilles de son adversaire avec sa jambe gauche. Mais l’homme en noir, pas encore entré dans son match puisqu’il venait de remplacer Frank Schneider, a laissé jouer, à la surprise générale. Et celle de Pierre Ménès.

Merci Sirigu !

Cantonné tout au long de la saison à un rôle de remplaà§ant derrière Kevin Trapp, Salvatore Sirigu aura bien mérité de disputer sa finale au Stade de France. Le gardien italien n’a été mis à contribution qu’une seule fois ce mardi soir mais a su répondre présent en remportant son duel face à Benjamin Moukandjo, lancé en profondeur plein axe. L’international cammerounais avait tout le temps d’ajuster. Trois minutes plus tard, Zlatan Ibrahimovic ouvrait le score. On tient notre tournant du match.

Zlatan, un but après un mauvais choix

Heureusement que le numéro 10 du PSG ouvre le score sur cette action. Heureusement aussi que sa frappe victorieuse est précédée d’un joli double-contact face à Zargo Touré. Ce geste de classe et l’efficacité de l’international suédois feront oublier que ce 42e but de la saison (en 44 apparitions) fait suite à un mauvais choix, Zlatan oubliant totalement Blaise Matuidi, seul sur sa gauche, et Javier Pastore, lancé sur sa droite. Comme quoi, parfois, l’individualisme paie. Et tant pis pour la morale…

Sylvain Opair

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