Pour l'élégant milieu de terrain de la Juventus de Turin, l'équipe galicienne ne tournait pas à l'eau claire ce jour-là :
« Avec le recul, quelque chose ne collait pas. Nos adversaires allaient à mille à l'heure, màªme les joueurs plus âgés qui n'étaient pas vraiment connus pour combiner vitesse et endurance. Ce qui m'a le plus marqué, c'est la faà§on dont ils continué à courir à la mi-temps, sans exception. Quand l'arbitre, Urs Meier, a sifflé la pause, ils ont tous sprinté vers les vestiaires comme Usain Bolt (”¦) Je n'ai aucune preuve, donc ce qui suit n'est pas une accusation – je ne me permettrais jamais d'aller aussi loin. C'est juste une mauvaise pensée qui m'a traversé l'esprit les années suivante. Pour la première et seule fois de ma vie, je me suis demandé si des joueurs que j'ai côtoyés sur le terrain avaient pris quelque chose. Ce n'est peut-àªtre que de l'aigreur. Mais les joueurs du Deportivo étaient comme possédés”¦ »