Dans But! Nantes, il revient sur ce triste épisode de sa riche carrière.
Au FC Nantes, vous avez fini votre carrière sur un échec ?
Oui, mais elle valait le coup d'àªtre vécue car une carrière de 17 ans de succès, je n'en connais pas ! Mais finir en L2 sur un banc… Le deuil a été plus dur à faire. Mais je ne regrette rien, surtout pas d'àªtre venu à Nantes ! J'ai essayé, on a essayé… J'y ai participé mais ce n'est pas mon échec. J'aurais vraiment aimé que à§a se passe autrement. Je suis très heureux de voir que le club retrouve des cou- leurs aujourd'hui.
Vous auriez voulu rester ?
Oui, j'aurais voulu mais, à l'époque, l'occasion ne s'est pas présentée… On ne me l'a pas vraiment proposé. Il y avait un homme au club, Gilles Favard (ndlr : conseiller sportif du président Kita), qui s'était juré ma mort… Je crois que Waldemar a très bien fait de s'en séparer par la suite car dès lors que ce monsieur est parti, le club a retrouvé des couleurs. Comme quoi… L'intelligence de M. Kita est là : avoir su s'entourer de gens intelligents ou en tout cas d'avoir su restreindre son entourage.
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