Trois sujets ne pouvaient pas être passés sous silence, hier, pendant la conférence de presse d'Antoine Kombouaré : la réception du Stade de Reims par le FC Nantes dimanche à 17h, la réélection de Vincent Labrune à la tête de la LFP mais également la mort de Didier Roustan. Survenu dans la nuit de mardi à mercredi, le décès du journaliste n'a laissé personne indifférent, et surtout par le Kanak, qui l'appréciait beaucoup.
"Ça me touche vraiment parce qu'on était un peu de la même génération. Moi, j'étais un peu plus jeune, mais j'ai vécu ma carrière avec lui. Dans tous les clubs où j'étais, il est passé, on a pu aller manger ensemble après les matchs. C'était à l'époque où on pouvait côtoyer les médias, les journalistes plus facilement. C'était un combattant, il avait des idées bien fortes et il défendait aussi des gens que l'on ne voit plus dans la génération de journalistes."
"J'aimais beaucoup le bonhomme, au-delà du journaliste qu'il était, c'était quelqu'un de très humain. Il était passionné de foot, il connaissait tout et il pouvait nous parler de joueurs que nous, on ne connaissait pas. Il allait dans des endroits reclus. Il était très attaché au FC Nantes et au jeu, c'était quelqu'un qui aimait le beau jeu, qui aimait les artistes. Je pense que le foot d'aujourd'hui, ce n'était plus trop son truc."
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