Comme l’aurait dit le regretté Thierry Roland, ces deux-là ne passeront pas leurs vacances ensemble ! Cette semaine, Waldemar Kita a dit, sur le site de Ouest France, tout le bien qu’il pensait de son ancien entraà®neur, Sergio Conceià§ao, désormais au FC Porto et qui a essayé de recruter Valentin Rongier dans son dos : “C'est fini. Il téléphone par derrière”¦ C'est de l'amateurisme. C'est une déception de plus le concernant. Il ne sait pas trop ce qu'il fait et ce n'est pas avec ces méthodes qu'il peut aller loin”.
Un accord verbal pas respecté de la part de Kita ?
Ce à quoi le technicien portugais a répondu dans la presse de son pays : “Avant de renouveler avec Nantes, le président m’a serré la main et m’a dit que si un grand club me demandait, il ne me couperait pas les jambes. La plupart des gens ne savaient pas qu’il y avait cet engagement verbal. Cela vaut autant, pour moi, qu’une clause signée sur un papier. Kita ne l’a pas respecté et a essayé autant que possible de compliquer mon départ. J’ai compris, avec tout ce qui se disait, que les gens étaient déà§us et tristes de mon départ, mais c’est le football. Je ne veux pas nourrir davantage la polémique. Le feuilleton est terminé. Ce divorce a été difficile pour tout le monde. Pour le club, pour les fans et pour moi. Mais c’est la vie. Pour voir les choses différemment : j’ai renouvelé le contrat, et un mois plus tard, est apparu un club comme le FC Porto. Pourquoi je n’aurais pas pu partir ?”
R.N.