FC Nantes : le vestiaire a crevé l’abcès avant l’OM
Au FC Nantes, on ne compte pas laisser davantage glisser la situation vers une simple lutte pour le maintien. Le groupe s'est réuni cette semaine pour se dire les choses avant l'OM.
Au FC Nantes, on ne compte pas laisser davantage glisser la situation vers une simple lutte pour le maintien. Le groupe s'est réuni cette semaine pour se dire les choses avant l'OM.
Si beaucoup de supporters du FC Nantes – qui étaient sereins en début de saison – redoutent désormais de revivre une course au maintien un peu galère, Marcus Coco a profité de sa conférence de presse pour envoyer quelques signaux positifs par rapport à la mauvaise série qui touche actuellement les Canaris (6 matchs sans victoire) avant d’affronter l’OM et le RC Lens.
« Par rapport à l’an passé, c’est totalement différent », assure le Guadeloupéen : « J’ai vraiment l’impression que tout le monde se donne. On a envie de bien faire les choses ensemble. Il ne faut pas qu’on se mette à douter. En ce moment, on est dans le dur, il faut essayer de casser la dynamique même si on sait que c’est compliqué avec le calendrier qui arrive. Il n’y aura pas de difficulté pour aborder ces matches, ce seront de belles affiches. Tout le monde sera à 200 % ».
Pour Marcus Coco, il y a un changement notable par rapport à l’année dernière : le vestiaire à crever l’abcès plus vite : « Là, on se dit un peu plus les choses, j’ai des souvenirs où ça tardait plus. Même si on se connaît depuis très longtemps, on n’hésite pas à se dire les choses. C’est ce qui permet de plus facilement s’embrouiller et après de se réconcilier ».
A l’instar d’Antoine Kombouaré, Marcus Coco a donc confirmé qu’il y avait eu de grosses discussions cette semaine à la Jonelière après la gifle reçue la semaine passée du côté de Strasbourg (1-3).
Au FC Nantes, on ne compte pas laisser davantage glisser la situation vers une simple lutte pour le maintien. Le groupe s'est réuni cette semaine pour se dire les choses avant l'OM. Marcus Coco va dans le sens d'Antoine Kombouaré sur ces discussions salvatrices.
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