Dans la tourmente depuis qu'un versement d'1,8 million d'euros par le président de la FIFA Sepp Blatter a été découvert, Michel Platini, candidat à la succession de Blatter, s'est défendu ce lundi, assurant dans un communiqué que ce montant n'avait rien d'illégal et correspondait à sa mission de conseiller auprès de l'instance.
« J'ai écrit aujourd'hui au comité d'Ethique de la FIFA pour m'expliquer et lui demander de m'entendre afin de fournir toutes les informations supplémentaires qui pourraient être nécessaires afin d'éclaircir cette question si besoin était. J'ai entièrement déclaré ces revenus aux autorités, conformément à la loi suisse. »
Des propos appuyés, c'est assez ironique, par celui qui est devenu entre-temps l'ennemi juré de l'ancien numéro 10 des Bleus : « M. Blatter a informé les autorités suisses vendredi du fait que M. Platini avait une relation de travail avec la FIFA, en tant que conseiller à la présidence, qui a débuté en 1998 », ont ainsi fait savoir les avocats du dirigeant valaisan.
Blatter a par ailleurs annoncé qu'il ne démissionnerait pas de son poste avant l'élection de son successeur, prévue en février prochain.
Dans la tourmente depuis qu'un versement d'1,8 million d'euros par le président de la FIFA Sepp Blatter a été découvert, Michel Platini, candidat à la succession de Blatter, s'est défendu ce lundi, assurant dans un communiqué que ce montant n'avait rien d'illégal et correspondait à sa mission de conseiller auprès de l'instance.
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