On savait, et depuis le début de cette affaire, que l'entretien accordé par Patrice Evra à TF1, il y a quelques jours, était propre à de multiples rebondissements.
On savait, et depuis le début de cette affaire, que l'entretien accordé par Patrice Evra à TF1, il y a quelques jours, était propre à de multiples rebondissements. Entre les propos stupéfiants du joueur, l'attitude de la Fédération Française et celle du sélectionneur Didier Deschamps, tout indiquait que certaines vérités allaient sortir tôt ou tard. Tout et même n'importe quoi, comme le rapporte ce matin le quotidien Libération. Première information, assurée par le quotidien : un cadre de la Fédération avait vu l'entretien avant sa diffusion. Pourquoi pas ?
Machiavélique ? Pas vraiment, non...
Mais c'est plutôt la suite qui paraît abracadabrantesque. Tenez-vous bien : le fait que ce fameux cadre ait vu l'interview avant tout le monde et n'ait rien dit relève d'un plan "machiavélique". L'idée ? Fragiliser Didier Deschamps et préparer son limogeage en cas de non-participation à la prochaine Coupe du monde avec, puisqu'il faut bien penser à tout..., en solution de rechange Zinédine Zidane. Bref, une théorie à dormir debout. Qui, sur le fond, n'est rien à côté de ce qui s'est vraiment passé : Deschamps a obtenu gain de cause pour que son joueur, malgré ses propos, ne soit pas sanctionné. Et même si une défaite, en barrages face à l'Ukraine, fragilisera nécessairement le sélectionneur, aujourd'hui il n'a jamais été aussi fort. Plan machiavélique ou pas...
On savait, et depuis le début de cette affaire, que l'entretien accordé par Patrice Evra à TF1, il y a quelques jours, était propre à de multiples rebondissements.
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