FC Barcelone - Mercato : c’est déjà la guerre entre deux cracks en attaque !

Deux noms reviennent sur le devant de la scène du Mercato.

Nolito et Andriy Yarmolenko. Voici les deux joueurs qui seraient les priorités des dirigeants du Barça pour venir remplacer Pedro. Aux dernières nouvelles, ce sera l'un ou autre. Si une longue liste des désirs du club catalan a été ébauchée la semaine dernière, Nolito et Andriy Yarmolenko seraient désormais les seuls à pouvoir entrer dans la dernière ligne droite car ils possèdent l’avantage d’avoir très rapidement donné leur aval à un éventuel transfert. Passé dans les rangs du FC Barcelone étant plus jeune, Nolito connaît en plus très bien Luis Enrique et ferait même figure de n°1 sur la liste, surtout après sa magnifique prestation face aux Blaugrana avec le Celta Vigo le mois dernier.

Nolito a donné un délai d'un mois au FC Barcelone

Mundo Deportivo affirme d’ailleurs dans son édition du jour que l’attaquant espagnol est « la priorité du Barça » lors du prochain marché des transferts mais que celui-ci a posé ses conditions. Alors que son prix d’achat se situe entre 18 et 25 millions d’euros, Nolito aurait ainsi demandé aux dirigeants catalans de se positionner de manière officielle sous un délai d’un mois pour que son club et lui soient enfin fixés. Surtout, ce même Nolito serait déjà prêt à refuser une offre « mirobolante » d’Arsenal et accepter un salaire moindre au Barça pour revenir en Catalogne.

Yarmolenko payable en plusieurs fois

Les arguments de Nolito sont réels mais Yarmolenko n’a pas dit son dernier mot. Le quotidien catalan Sport affirme en effet que le crack ukrainien se sait désiré par plusieurs grands clubs européens - dont Chelsea - mais aurait déjà glissé à son agent que le FC Barcelone était sa priorité. Le Barça pourrait même s’offrir Yarmolenko pour 20M€, soit 5 de moins que sa clause libératoire originelle, payables en plusieurs versements. « Si le Barça doit recruter un joueur en janvier, il a de bonnes chances de venir », conclut le journal espagnol. La guerre ne fait donc que commencer.