Son président, Josep Maria Bartomeu, s’en plaint à l’UEFA.
Javier Tebas n’est plus seul ! Jusqu’à présent, le président de la Ligue espagnole jouait aux Don Quichotte avec ses propos anti-dopage financier qui visaient le PSG et Manchester City. Il vient d’àªtre rejoint dans la bagarre par un Josep Maria Bartomeu écÅ“uré que Matthijs De Ligt ait fait le choix de l’argent en s’appràªtant à signer à Paris plutôt que de s’engager avec le FC Barcelone, dont le projet sportif est plus attrayant.
‘Nous gérons de l’argent qui n’est pas le nôtre, il appartient à tous les socios, mais aussi un patrimoine sportif et une histoire. Nous devons trouver un équilibre. Que la propriété revienne à des socios ou à des actionnaires, une grande fortune ou des clubs Etats, ce n’est pas la màªme chose. Je ne me lasserai jamais d’insister sur le fait que la FIFA et l’UEFA doivent exiger le respect des règles pour que l’on joue tous dans les màªmes conditions. Il faut accélérer l’objectif du fair-play financier et infliger des sanctions exemplaires à ceux qui ne le respectent pas.’
‘Le Barà§a est le club sportif qui possède le meilleur chiffre d’affaires et toutes ses recettes viennent du sportif. Mais pour à§a, nous devons àªtre créatifs et ambitieux. C’est une fierté d’avoir ce modèle qui nous rend différents. Il nous sert à réaliser des transferts stratégiques et à rajeunir l’effectif, ce qui est très à la mode aujourd’hui.’
R.N.