Juventus : une figure du Real Madrid met Cristiano Ronaldo plus bas que terre !

On n’a sans doute pas fini d’entendre parler de la sortie prématurée de Cristiano Ronaldo face au Milan AC hier soir (1-0). Remplacé avant l’heure de jeu lors de la victoire de la Juventus Turin (1-0) , CR7 a quitté le stade avant même la fin du match. La télévision italienne l’a même montré lâcher des mots vers son banc avant de rentrer le regard noir aux vestiaires. Il venait de céder sa place à Paulo Dybala, unique buteur de la rencontre.

Cristiano, enfadado, se fue del estadio antes de acabar el clà¡sicohttps://t.co/QXp9tyDOZX

— Mundo Deportivo (@mundodeportivo) November 10, 2019

« Ronaldo, un problème ? Non, au contraire, a désamorcé Maurizio Sarri en conférence de presse. Déjà , je le remercie de s’être mis à disposition alors qu’il n’est pas dans une condition physique exceptionnelle. J’ai préféré le remplacer car il ne me semblait pas très bien. Mais il a tout fait pour être prêt à jouer. Être énervé de sortir, c’est la normalité. Ca vaut pour tous les joueurs, surtout ceux qui ont fait des sacrifices. ça fait aussi plaisir à un entraîneur de voir un joueur furieux de sortir. C’est plus le contraire qui m’inquiéterait. »

« Cristiano ne dribble plus personne depuis trois ans »

Cristiano Ronaldo ressentirait une gêne à un genou suite à un coup reçu à l’entraînement. Fabio Capello, qui a déjà taclé l’ancien buteur du Real Madrid ce week-end sur sa forme physique, a profité de son coup de sang dominical pour le rabaisser une nouvelle fois. « Cristiano n’est pas bien et le remplacer était une chose juste, a-t-il affirmé au micro de Sky. Il fallait avoir de la personnalité pour réaliser ce changement, mais au final Sarri a gagné le match. Le fait d’être parti sans s’asseoir sur le banc et en ayant dit des mots ne donne pas une bonne image de Cristiano. Il faut se comporter en champion, même durant ces moments. La vérité c’est que Cristiano ne dribble plus personne depuis trois ans. » Zinédine Zidane dirait sans doute le contraire.

Bastien Aubert