Après le match nul de l’ASSE contre Angers (3-3), le choix d’Eirik Horneland de ne pas faire entrer Ibrahim Sissoko interpelle.
Après six matches sans victoire dont quatre défaites et un lourd revers à Marseille (1-5), l’ASSE se devait de battre Angers samedi soir pour bien débuter une série très importante qui la verra ensuite recevoir Nice et affronter les deux derniers du classement, Montpellier et Le Havre. Face à des Angevins privés de leur meilleur buteur, Lepaul, et qui joueront mardi en 1/4 de finale de Coupe de France contre Reims, la victoire était impérative, mais les Verts se sont donnés le bâton pour se faire battre et au terme d’un scenario fou, ils n’ont pu prendre qu’un point.
Très peu utilisé depuis son retour de suspension
Lors de ce match, Eirik Horneland avait choisi de titulariser le jeune N’Guessan sur le flanc gauche de l’attaque verte (alors que c’est un avant-centre) à la place de Davitashvili, auteur de deux passes décisives à son entrée en jeu à la mi-temps. Autre choix surprenant du Norvégien : Ibrahim Sissoko est resté sur le banc, Horneland n’effectuant que quatre changements. Le Malien est resté sur le banc, et ce même si Lucas Stassin s’est montré assez éteint. Un Sissoko très peu utilisé depuis son retour de suspension, et qui aurait pu soulager l’équipe, avec sa présence athlétique, à 3-2, alors qu’Angers poussait pour égaliser en fin de rencontre. Ce que le SCO est parvenu à faire sur le penalty concédé dans le temps additionnel par le malheureux Maxime Bernauer, pour sa première apparition en Vert.