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FC Nantes : les Kita et le vestiaire ont tranché pour l’avenir de Kombouaré

Revenu en mars dernier sur le banc du FC Nantes, Antoine Kombouaré se trouve fragilisé après la nouvelle défaite des Canaris, ce dimanche, contre Le Havre à la Beaujoire (0-2). Ses joueurs et la direction semblent toutefois derrière lui… pour le moment.

L’avenir d’Antoine Kombouaré est devenu un sujet crispant au FC Nantes. Alors que se profile un déplacement périlleux à Paris ce samedi (21h), l’entraîneur des Canaris pourra-t-il résister à la quatrième défaite d’affilée hier contre Le Havre à la Beaujoire (0-2) ? Dans un passé récent, plusieurs coaches en difficulté au FC Nantes n’ont pas eu le temps de passer l’automne ou l’hiver, de Miguel Cardoso (2018) à Pierre Aristouy (2023) en passant par Christian Gourcuff (2020).

Le vestiaire derrière Kombouaré

Si Kombouaré n’est pas un coach comme un autre, il semble bénéficie du soutien de ses joueurs. « Je ne pense pas qu’il soit en danger, en tout cas il a le soutien de toute l’équipe, a souligné Alban Lafont, qui est venu hier devant les micros au nom du groupe. Lui aussi donne le maximum avec nous, il apporte beaucoup à tout le monde, en tout cas, il a notre soutien. On s’est mis ensemble dans cette situation, il en fait partie. La seule chose qu’il veut, c’est sortir de cette situation, il faut lui laisser le temps, la chance de nous sortir de tout ça. »

Le Mercato comme tremplin ?

Selon L’Équipe, la famille Kita garderait confiance en Kombouaré malgré un début d’interrogation liée au mercato, qui ouvrira ses portes après encore trois journées de Ligue 1. « Une séparation serait forcément coûteuse, alors qu’il est sous contrat jusqu’en 2026, rappelle le quotidien sportif. Les Kita ont fait revenir en mars Kombouaré et, hier soir, la tendance était à ce qu’il poursuive sa mission. De son côté, le Kanak se sent encore capable de relever la tête sur le banc du FC Nantes : « Ce n’est pas la meilleure période, la série est catastrophique mais je suis prêt à relever le défi. On n’est pas en fin de saison, ce n’est pas insurmontable. Je suis un battant, j’ai horreur de me plaindre, il faut se remette au boulot pour rectifier le tir, comme l’ont fait Saint-Étienne ou Le Havre. »

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