En déclarant la guerre à la presse ce jeudi en conférence de presse, Antoine Kombouaré a provoqué son lot de révélations.
Agacé par l’attitude de la presse nantaise qui n’a pas pris la peine de s’excuser après l’avoir condamné sur le banc du FC Nantes en décembre, Antoine Kombouaré s’est fendu d’une communication lapidaire pour rabrouer les journalistes et justifier le boycott de sa conférence de presse avant Lille. Une sortie qui a provoqué une levée de bouclier au sein de la presse ligérienne, médusée.
Une diversion pour éviter les sujets sensibles ?
Après L’Equipe et Simon Reungoat (Hit-West) qui ont pris soin de répondre à Kombouaré sur ses reproches, Ouest-France a fait des nouvelles révélations sous la plume de David Phelippeau. Loin de s’excuser, l’intéressé en a remis une couche, assurant que la direction du FC Nantes avait prévu une conférence de presse le vendredi 20 décembre pour annoncer le limogeage d’Antoine Kombouaré et son remplacement par Habib Beye… Sauf qu’en dernière minute le consultant de Canal+ a décliné l’offre faute d’avoir pu constituer le staff de son souhait.
Si aucune annonce officielle n’a jamais été faite sur cette fameuse conférence de presse finalement annulé, Phelippeau assure que Franck Kita a cherché jusqu’en milieu de journée le 20 décembre à remplacer le Kanak … avant de le maintenir par défaut faute de candidat intéressant et à la condition « qu’il apporte quelques retouches à son staff ». Dans son article publié sur le site internet du quotidien, le journaliste de « OF » n’est pas loin de penser que cette attaque sur les médias a servi de diversion pour ne pas répondre aux questions qui fâchent sur le déclassement de son ancien capitaine Alban Lafont et les modifications dans son staff…
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