Si l’OL et Botafogo ont déjà eu quelques soucis ces derniers jours avec la FIFA, du côté de Molenbeek la situation n’est guère plus reluisante.
Il n’y a pas que l’OL dont les finances inquiètent. La Eagle Football Holdings – maison mère de la stratégie multiclubs de John Textor – multiplie les signaux d’alerte ces derniers jours. Comme révélé par plusieurs médias, le club rhodanien mais aussi Botafogo ont été provisoirement « interdits de transferts » par la FIFA pour diverses traites et indemnités de formation impayées.
Si, depuis, la galaxie Eagle s’est remis d’équerre en réglant son dû pour faire sauter mécaniquement la décision du robot de la FIFA, d’autres « red flag » inquiétants apparaissent alors que John Textor caresse toujours l’espoir de faire rentrer son groupe à la Bourse de New York.
Molenbeek a aussi de gros soucis en Belgique
En effet, comme le rapporte Le Progrès, citant divers médias belges, ça chauffe aussi pour Molenbeek, actuellement en tête de la D2 belge et à une victoire de la montée. En effet, le RDWM n’a pas vu sa demande de licence être validée par les instances. Or il s’agit d’une condition sine-qua-none pour évoluer en Jupiler League.
John Textor a jusqu’au milieu du mois d’avril pour amener des garanties financières. Selon SudPresse, la commission a également demandé des précisions concernant les deux entités Eagle (la Holding et le Eagle Football Group (ex-OL Groupe). Comme pour l’OL, sanctionné à titre conservatoire d’une relégation en Ligue 2 par la DNCG, Molenbeek va devoir convaincre pour ne pas plonger en troisième division…