PSG – LOSC : Luis Enrique jubile avant Liverpool, Genesio plaide coupable et se paie la LFP

Au micro de DAZN, Luis Enrique et Bruno Genesio ont réagi à la victoire du PSG face au LOSC (4-1) et forcément, c’était deux salles, deux ambiances.

Enrique : « La préparation de Liverpool est parfaite »

Luis Enrique : « Je suis très heureux, très satisfait. Je pense qu’on a joué la meilleure première période de notre saison. Face à une équipe de Ligue des Champions comme Lille, on a réussi à marquer quatre buts et à se créer beaucoup d’occasions. C’était vraiment une première période totalement accomplie.

La préparation de Liverpool est parfaite. Il y a des choses similaires entre les manières dont Lille allait presser et les Reds vont nous presser mais c’est une autre compétition, un autre match. Ce sera difficile pour les deux équipes.

Marquinhos 16^ème buteur différent cette saison ? Pour être honnête, je ne fais pas attention à qui marque. Peu importe. On a cette mentalité. On est une vraie équipe. Chaque joueur peut marquer et faire des passes importantes. »

Genesio : « Je suis à 100% responsable »

Bruno Genesio : « Je suis à 100% responsable de cette défaite car tous mes choix de ce soir ont été mauvais. Notamment en première période. Dans ce genre de matchs, il faut faire beaucoup de très belles choses pour ramener un résultat positif mais surtout mettre de l’engagement. Ce qu’on n’a pas su faire en première période. Je ne sais pas pourquoi on est complètement passé à côté de notre mi-temps (…) Je n’ai pas reconnu le visage de mon équipe. En deuxième mi-temps, on a montré d’autres valeurs. Il faudra s’appuyer là-dessus pour les prochains matchs (…) Dans ce championnat, il y a Paris, Paris et Paris. Les autres, on lutte pour ce qui restera mais ils sont sur une autre planète que les 17 autres équipes de ce championnat (…) Il faut aussi replacer les choses dans le contexte. On joue mardi, un match de Champions League à Dortmund et tous les choix ont été faits en fonction du match de ce soir mais aussi de celui de mardi. Sans vouloir faire la pleureuse, peut-être qu’il y avait moyen de faire beaucoup mieux de la part des instances ».