Girondins de Bordeaux : Triaud et le mouvement de grève

Cette fois, pas de mercato, ni de ballon, mais la taxe à 75% et le mouvement de grève lancé pour le week-end du 30 novembre par les présidents de clubs. Un Jean-Louis Triaud sur la màªme longueur d’ondes que ses collègues. ‘On fait des efforts, on essaie de sortir la tàªte de l'eau, on allège nos masses salariales en se séparant de joueurs que l'on ne peut pas conserver. Curieusement, c'est à ce moment qu'on nous en rajoute une couche. C'est d'autant plus surprenant qu'au départ, la volonté du président de la République était de taxer les gros salaires. à‡a n'a pas pu se faire, donc au lieu de taxer le salarié, on veut taxer l'employeur qui est déjà en difficulté. Je trouve à§a difficile à avaler.’ Et pour que à§a passe mieux, il est donc prévu de ne pas jouer le week-end du 30 novembre.

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