Le poème de la semaine : Cavani et Falcao portés disparus

Nouvelle rubrique sur But Football Club. Chaque lundi, la rédaction convoque l’esprit de Joachim du Bellay, Gérard de Nerval ou Paul Verlaine pour analyser, sous forme de poème, un fait marquant du week-end footballistique.

Cette semaine, retour sur les ternes prestations d’Edinson Cavani et de Falcao, stars annoncées du choc PSG-Monaco (1-1).

C’est parti !

Au-devant des journaux, leurs deux noms s’étalaient, Màªme Femme Actuelle en avait fait sa Une. Dans notre Ligue 1 où les sommets sont des dunes, Falcao-Cavani, c’était le Tourmalet.

Edinson, à c’qu’on dit, marque 30 buts par an, Radamel casse des reins, parfois màªme des prostates, Et ferait un p’tit pont à un stoppeur cul-de-jatte. Manque de pot, les deux hommes ont été transparents…

J’en entends qui protestent, côté Monaco Leurs sentiments, soudain, n’ont plus rien d’amicaux Falcao a marqué, pourquoi je l’enguirlande ?

Je maintiens ma version, dussé-je àªtre le seul, Mais un but de raccroc en se cassant la gueule, à‡a fait plutôt penser à du Lilian Laslandes.

À la semaine prochaine !