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Ligue 1

L’entraà®neur de Brest maintient la pression après Nantes, Dugarry dégomme la politique des Girondins, Schmeichel fan de Ratcliffe à Nice

Si But! Football Club traite en premier lieu l’actualité de certaines équipes de l’élite, nous avons décidé de vous faire un résumé de ce qu’il s’est passé aujourd’hui dans l’autre partie – moins médiatique – de la France du football.

Stade Brestois : Roy maintient la pression après Nantes

Le SB29 est sorti de la zone rouge hier après son succès sur Nantes (2-0). Mais son entraîneur, Eric Roy, même s'il s'est montré satisfait, a rappelé que l'essentiel, à savoir le maintien, n'était pas encore acquis : "C'est le match que j'attendais, surtout la première période, dans l'intensité, le rythme, l'agressivité, et on a été récompensés. On est peut-être un peu heureux sur le premier but mais, quand on est dans cet état d'esprit, quand on est emballant, des occasions s'offrent à nous. Il faut avoir de la générosité et de la sérénité dans ces périodes-là. On voulait faire une bonne entame, même si c'est plutôt Nantes qui a bien démarré. On a encore trois matches à la maison (Auxerre, Clermont et Rennes) et, ici, les joueurs se sentent à l'aise, dans un environnement positif, ça peut compter. C'est un résultat important, pas décisif".

Girondins : Dugarry critique la méthode Lopez

Dans une interview au média Bordeaux Le Mag, Christophe Dugarry a dit une nouvelle fois tout le mal qu'il pense du football actuel et des méthodes risquées des dirigeants actuels, visant Gérard Lopez sans le nommer : "Le football d'aujourd'hui, le modèle économique, il est à gerber. C'est détestable. Moi, je n'ai pas envie de vivre ça. Qu'on finisse dixième les dix prochaines années, moi, ça me conviendra. Mais par contre, on n'a pas de déficit. Les gens sont sûrs de toucher leur paye. Les salariés, des événements, des prestations, des soirées. Que les joueurs soient contents de jouer ensemble. Qu'ils soient contents de partir au vert. Qu'ils soient contents de partager ensemble. Un truc familial. Je pense que c'est encore possible. Si tu as un peu moins de chance, ou un peu moins performant, tu descends dans la Ligue 2. Si tu descends en Ligue 2, le club n'aura aucune chance de descendre parce qu'il sera sain, il sera vertueux. Et il remontera aussi facilement. Je n'ai pas envie qu'on soit dans la course à la saucisse ou à l'échalote. Avec les autres devants qui investissent des milliards et des milliards jusqu'au jour où ils se rendent compte que même leurs milliards ne suffisent pas pour gagner les Ligue des Champions. Donc tu ne t'en sors pas. Je n'ai pas envie de ce football-là. Il ne m'intéresse pas".

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