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ASSE – EXCLU Pajot : « J'ai fait le bon choix en signant ici »
Son choix de rejoindre l’A.
S.S.E au mercato d'été, la Ligue Europa, le derby, son début de saison”¦ Vincent Pajot pose son regard sur son actualité et celle de l'équipe. Entretien.
Etes-vous content de votre choix ?
Bien sûr. J'avais beaucoup réfléchi, pesé le pour et le contre. Mais je ne me suis pas trompé.
L'A.S.S.E. correspond à l'idée que vous en aviez ?
Oui. C'est conforme. Plusieurs personnes m'en avaient parlé. Des fois, on embellie mais là , non. Tout ce qu'on m'avait dit s'avère vrai. C'est un club sain. L'ambiance est très bonne. Il y a une atmosphère très plaisante.
S'il fallait que vous notiez votre début de saison”¦
C'est bien un truc à vous, les journalistes, vous aimez beaucoup les notes ! Moi, je ne suis pas fan et je n'aime pas m'autocritiquer, m'évaluer. Je suis trop exigeant. Mais ce que je sais, c'est que j'ai fait le bon choix en venant ici. Je vais progresser. C'est l'essentiel.
Sur quels aspects de votre jeu Christophe Galtier insiste-t-il le plus ?
Le coach insiste sur ma discipline, ma rigueur tactique. Et il aimerait que je sois plus décisif. Moi aussi. Il faut que je marque des buts, que je fasse des passes décisives. Jusque-là , j'ai un peu eu la poisse devant le but. J'ai pourtant eu des occasions”¦ Mais à§a finira bien par rentrer un jour.
Qu'avez-vous pensé des propos d'Alexandre Lacazette après l'élimination de Lyon en Ligue des champions contre La Gantoise ?
J'ai vu ce qu'il a dit, que c'était la Ligue des champions, qu'en face ce n'était pas Saint-Etienne. Franchement, à§a m'a fait sourire. à‡a entretient la rivalité, c'est de bonne guerre. Tant que c'est dans les journaux qu'il chambre, à§a va. Sur le terrain par contre, à§a me ferait moins rire.
Ce derby, vous l'avez vraiment durement ressenti ?
Evidemment. Le résultat était déjà dur à encaisser, mais, en plus, il y a eu la blessure de Robert Beric. On en prend trois et Robert en prend pour six mois. à‡a nous a encore plus fait mal à la tàªte. Sur ce match, on n'a rien eu pour nous. On a tout pris dans la gueule.
Laurent HESS, à Saint-à‰tienne