Les acteurs du football franà§ais ont la ferme intention de conclure la saison 2019-2020 tôt ou tard. À l'ASSE, Bernard Caà¯azzo est par exemple le premier à compter sur une Ligue 1 bouclée cet été si les autorités sanitaires donnent le feu vert d'ici là . Gérard Lopez, au LOSC, est sur la màªme ligne que le co-président des Verts et n'hésite pas à faire savoir qu'il pourrait jouer tous les trois jours s'il le fallait en juin.

Tout le monde est actuellement pendu à la l'avancée ou non du coronavirus en France. En attendant, il faut déjà évaluer les pertes éventuelles sur les clubs de L1. Selon une étude du cabinet d’audit KPMG, relayée par RMC Sport, une saison non aboutie provoquerait un manque à gagner de 300 à 400 millions d’euros pour ses acteurs !

?¡BUENOS DàAS! Estas son las PORTADAS del JUEVES de la PRENSA DEPORTIVA en Espaà±a. ¡No te las pierdas! #FelizJueves pic.twitter.com/Jlk5l6OKf3

— El Chiringuito TV (@elchiringuitotv) March 19, 2020

Cette étude se base sur une annulation pure et simple des matchs restants. KPMG estime que les pertes liées aux droits TV se situeraient entre 150 et 200 millions d’euros, 100 à 140 millions pour les partenariats et 50 à 60 millions en ce qui concerne la billetterie et les prestations autour des matchs. Un gouffre.

Les acteurs du football franà§ais ont la ferme intention de conclure la saison 2019-2020 tôt ou tard. À l'ASSE, Bernard Caà¯azzo est par exemple le premier à compter sur une Ligue 1 bouclée cet été si les autorités sanitaires donnent le feu vert d'ici là . Gérard Lopez, au LOSC, est sur la màªme ligne que le co-président des Verts et n'hésite pas à faire savoir qu'il pourrait jouer tous les trois jours s'il le fallait en juin.

Tout le monde est actuellement pendu à la l'avancée ou non du coronavirus en France. En attendant, il faut déjà évaluer les pertes éventuelles sur les clubs de L1. Selon une étude du cabinet d’audit KPMG, relayée par RMC Sport, une saison non aboutie provoquerait un manque à gagner de 300 à 400 millions d’euros pour ses acteurs !

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Cette étude se base sur une annulation pure et simple des matchs restants. KPMG estime que les pertes liées aux droits TV se situeraient entre 150 et 200 millions d’euros, 100 à 140 millions pour les partenariats et 50 à 60 millions en ce qui concerne la billetterie et les prestations autour des matchs. Un gouffre.