Lorient FC
Girondins de Bordeaux : Ecuele-Manga ne dit pas non
Invité à l’émission « Arrêt de jeu » co-organisé par Gold FM et notre partenaire webgirondins, Bruno Ecuele-Manga a évoqué son départ des Girondins en 2008 :
« Le 31 janvier, alors que je suis en cours, le club m’appelle.
Invité à l'émission « Arràªt de jeu » co-organisé par Gold FM et notre partenaire webgirondins, Bruno Ecuele-Manga a évoqué son départ des Girondins en 2008 :
« Le 31 janvier, alors que je suis en cours, le club m'appelle. On me dit : « Tu vas àªtre pràªté à Rodez ! » Je ne comprenais pas très bien ce qui se passait pour moi. J'ai appelé mon agent, j'ai appelé Marius Trésor, Patrick Battiston”¦ On m'a juste dit : « Tu viens au Haillan. Il y a des papiers à signer rapidement avant que la poste ne ferme. » Moi, je ne voulais pas y aller. C'est Marius Trésor et Battiston qui m'ont convaincu en m'expliquant que c'était un niveau National, que j'allais avoir du temps de jeu et progresser. »
Beaucoup de mépris de la part du club à son départ
Toujours sous contrat stagiaire à Bordeaux où il venait de passer un an et demi, le Merlu s'est ensuite retourné vers sa direction pour évoquer son avenir : « Quelques mois plus tard, j'ai appelé Bordeaux pour savoir s'ils comptaient me faire signer professionnel ou pas. Je n'avais toujours pas de réponse. A trois journées de la fin du championnat de National, le directeur sportif d'Angers m'appelle : « Bordeaux m'a passé ton numéro. Ils ne te gardent pas. On te veut en Ligue 2 ! » »
« Bordeaux reste encore dans mon cÅ“ur »
Une fin d'aventure en queue de poisson pour le Gabonais qui n'est malgré tout pas rancunier et màªme pràªt à revenir plus tard : « Bordeaux reste encore dans mon cÅ“ur. Je ne vais pas polémiquer sur le sujet mais je garde aussi beaucoup de regrets. Aujourd'hui, ce qui prédomine, c'est le positif ! A Bordeaux, j'ai rencontré des gens supers et j'ai beaucoup progressé. Un retour ? Je ne vais pas dire non, je ne vais pas dire oui. à‡a me parait difficile de dire non à Bordeaux mais on verra comment à§a évoluera à l'avenir. Aujourd'hui, j'ai la tàªte à Lorient. »