Jérôme Rothen a évoqué le fiasco des droits TV sur RMC... et, pour lui, on ne peut pas accuser Vincent Labrune, le boss de la LFP, de tous les maux.
Alors que Vincent Labrune essuie un vent de critiques du fait de sa gestion de la négociation des droits TV et de la possibilité d’un naufrage économique du football français, le président de la LFP s’est trouvé un avocat de choix en la personne de … Jérôme Rothen.
Dans l’émission « Rothen s’enflamme » sur RMC, l’ex joueur de l’équipe de France a défendu Labrune : « Les présidents ont décidé de mettre Vincent Labrune dans cette position-là. C’est leur salarié. Il fait plus ou moins ce qu’on lui demande. Il voulait le milliard pour pérenniser les clubs et leur donner plus de moyens pour rivaliser avec les pays voisins. Vincent Labrune était totalement dans cette communication-là. Il n’a pris de court personne... »
Pour lui, les présidents de clubs et Didier Quillot sont autant sinon plus responsables… Avec un visage en particulier : Jean-Michel Aulas. « La relation avec Canal+ a pris fin avec l’ancienne équipe dirigeante. Vincent Labrune a continué en ce sens. Il est aussi responsable mais malheureusement ce sont les présidents qui sont responsables. Jean-Michel Aulas notamment qu’on entend aujourd’hui donner des leçons. « Il faut aller voir Canal »… Mais c’est une honte ! Rappelez-vous ce qu’il disait à l’époque… »
« C’est trop facile de balancer Vincent Labrune en disant que cet homme-là fout le bordel et qui est un doux rêveur (…) Je suis désolé. Les responsables ce sont les représentants de clubs de Ligue 1 et en particulier Monsieur Aulas », a conclu un Rothen remonté.
🗨️ "C'est trop facile de jeter en pâture Vincent Labrune. Les responsables ce sont les présidents de clubs de Ligue 1 et en particulier M. Aulas"
— Rothen s'enflamme (@Rothensenflamme) June 11, 2024
⚡️ Le coup de gueule de @RothenJerome sur la situation des droits TV. pic.twitter.com/12dRdNwZ22
Jérôme Rothen a évoqué le fiasco des droits TV sur RMC... et, pour lui, on ne peut pas accuser Vincent Labrune, le boss de la LFP, de tous les maux. L'attitude des présidents de clubs est stigmatisée et plus précisément celle de Jean-Michel Aulas.
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