En cette semaine d'Olympico, on s'interroge sur la capacité de l'Olympique Lyonnais (OL) à rivaliser avec l'Olympique de Marseille (OM) sur la durée cette saison.
Notre question de la semaine tourne autour de l’Olympico avec une question plus générale sur la saison l’Olympique Lyonnais (OL) peut-il jouer dans la même cour que l’Olympique de Marseille (OM). Aujourd’hui, de nombreux observateurs s’enflamment pour ce Marseille et son recrutement estival mais les Gones, dont on parle moins sinon pour évoquer les problèmes, peuvent-ils revenir et jouer sur le même tableau que les Phocéens ?
Notre correspondant à Lyon Alexandre Corboz est très chaud avec l’Olympico, un match particulier dans sa saison. S’il pense que ce sera dur de tenir sur la durée face à une équipe marseillaise qui n’a finalement qu’un seul lièvre à courir avec la Ligue 1, le « Monsieur Lyon » de But estime malgré tout qu’il y a un coup à faire sur deux matchs face aux hommes de Roberto De Zerbi… Et il ne pense pas que l’OL est si loin du niveau d’un OM survendu médiatiquement. Une prise de position clivante que nous vous invitons à commenter. Si vous aimez, donnez-nous de la force en vous abonnant à But ! Football Club.
Qui est Alexandre Corboz, notre spécialiste de l’OL ? Rédacteur en chef du site butfootballclub.fr depuis juin 2024, Alexandre Corboz suit l’Olympique Lyonnais au quotidien depuis 2008. Arrivé le même jour que Claude Puel (la chance n’est-ce pas…) dans cette belle ville de Lyon, l’Annécien de naissance a vu grandir les cadres de l’OL actuel comme Alexandre Lacazette ou Anthony Lopes, qu’il suivait déjà lorsque ces derniers débutaient à 17-18 ans en CFA (4ème division). Depuis l’été 2008, Alexandre Corboz n’a raté quasiment aucun match des Gones à domicile, que ce soit au Groupama Stadium et plus tôt à Gerland. Il a aussi été de tous les derby ASSE – OL ou OL – ASSE, que ce soit à Lyon ou en proche banlieue hostile.
La question OL de la semaine porte sur la rivalité olympique avec Marseille. Les Gones sont-ils capables de rivaliser ? Alexandre Corboz pense que, sur deux matchs, c'est une évidence mais sur 34 journées ce sera très compliqué.
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