ASSE : OL, Ben Arfa, Ruffier, Galtier … Bernard Caïazzo joue franc jeu
Invité dans Téléfoot ce dimanche en ce jour de PSG – ASSE, Bernard Caïazzo a fait savoir que les Verts n’avaient aucune pression à affronter l’ogre parisien au Parc des Princes.
Invité dans Téléfoot ce dimanche en ce jour de PSG – ASSE, Bernard Caà¯azzo a fait savoir que les Verts n'avaient aucune pression à affronter l'ogre parisien au Parc des Princes. Quant à savoir s'il préférait gagner face aux triples champions de France ou face à l'OL dans quinze jours à Gerland, le président du Conseil de Surveillance des Verts a été très clair :« La réponse est évidente pour un Stéphanois. Je préfère gagner le derby comme tous les supporters. C'est d'ailleurs la première date qu'on regarde à la publication du calendrier. »Questionné sur les prestations d’Hatem Ben Arfa avec Nice, le boss forézien a reconnu qu’il ne ferait pas tâche chez les Verts : ‘Moi, j'aime beaucoup Hatem. Je le connais depuis très longtemps. Il a 28 ans et a surement beaucoup changé (”¦) Est-ce que j'aimerais l'avoir à Saint-Etienne ? Oui.’
‘Je comprends la personnalité de Ruffier’
Quant au refus de Stéphane Ruffier d’àªtre n°3 en Bleu, Caà¯azzo le comprend : « Je comprends la personnalité de Stéphane de quelqu'un qui est droit, honnàªte et qui a un caractère comme on en voit peu aujourd'hui. Il a cette capacité à donner son ressenti. C'est son caractère basque (”¦) De l'avis de beaucoup, il doit àªtre au moins numéro 2. Après c'est peut-àªtre une question d'expérience. On dit qu'il faut qu'il joue la Ligue des Champions pour voir plus haut mais Hugo Lloris et Steve Mandanda ne la jouent pas non plus. Pour prendre la défense de Stéphane, je préfère quelqu'un qui dit ce qu'il ressent », glisse-t-il, s'en prenant à Michael Landreau et aux critiques de ce dernier contre son gardien.Enfin, quant à savoir si le départ de Christophe Galtier était possible, le dirigeant forézien n'a pas fermé la porte : « En ce qui concerne Christophe, il y a un attachement affectif. Le départ de Christophe, ce serait un crève-cÅ“ur. Maintenant quand on aime quelqu'un, on veut son bonheur”¦ »