Interrogé par L'Equipe avant ses débuts en Ligue des Champions avec Valence, ce soir, face au Bayern Munich, le latéral français Aly Cissokho revient sur son départ de Lyon, cet été, mais sans amertume apparente.
Interrogé par L'Equipe avant ses débuts en Ligue des Champions avec Valence, ce soir, face au Bayern Munich, le latéral français Aly Cissokho revient sur son départ de Lyon, cet été, mais sans amertume apparente. "Je savais simplement que le club voulait vendre et que je faisais partie des joueurs concernés, indique-t-il. Ça ne m’a pas empêché de faire toute la préparation et le début de saison. L’OL est sur une belle lancée. J’espère que ça va continuer."
Le joueur évoque aussi les propos tenus par son ancien président, Jean-Michel Aulas, concernant certains cadres qualifiés de "dinosaures" ou de "pharaons". "Ses déclarations m’ont surpris, bien sûr, reconnaît Cissokho. Mais je n’ai pas voulu répondre par voie de presse. J’ai vraiment mis ça de côté. C’est le boss, il a le droit de dire ce qu’il veut. Il a fait beaucoup de choses pour le foot, pour Lyon et pour moi. Après, c’est vrai que je ne suis pas quelqu’un qui souhaite entrer dans des polémiques. Je ne suis pas quelqu’un qui va taper du poing sur la table du président, gueuler ou balancer des choses sur Twitter. Je n’ai pas eu l’occasion de m’expliquer avec lui, mais je ne lui en veux pas." Sans rancune...
Quasiment poussé dehors à Lyon, le Valencian Aly Cissokho assure ne pas en vouloir à Jean-Michel Aulas, son ancien président.
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