Le président lyonnais Jean-Michel Aulas attribuait hier aux conditions de versement de certaines commissions le retard pris dans la concrétisation du transfert de Bafétimbi Gomis à Newcastle.
Le président lyonnais Jean-Michel Aulas attribuait hier aux conditions de versement de certaines commissions le retard pris dans la concrétisation du transfert de Bafétimbi Gomis à Newcastle.
L'Équipe apporte ce matin quelques précisions : ce serait la fameuse prime de solidarité (5% du montant du transfert) devant être reversée au club formateur (Saint-Étienne, en l'occurrence) qui poserait problème. Lyon voudrait en effet que Newcastle s'en acquitte à sa place.
Pour un transfert d'environ 8 M€, cela représente tout de même 400 000 euros qui termineront de toute façon dans les caisses stéphanoises. Reste à savoir qui les versera...
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L'Olympique Lyonnais rechignerait à payer de sa poche la prime de solidarité destinée à Saint-Étienne dans le transfert de Gomis.
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