Zoom sur son année OL.
Le 22 mars, Ménès ne s’amuse plus d’Aulas sur Twitter
Jean-Michel Aulas, le président de l’OL, est devenu un as de la communication sur Twitter. Un procédé qui visiblement amusait Pierre Ménès au début, mais dont il commence à se lasser désormais, comme il l’a expliqué au Canal Football Club : « C’est un petit peu un combat déséquilibré. Il déverse sur Twitter sur tout le monde. Il a été convoqué par la commission également, mais c’est moins grave que pour Zlatan ou Payet, parce qu’il n’est pas sur la pelouse. Donc le combat est un peu déséquilibré. Mais pour moi, un président de sa stature devrait prendre un peu plus de recul. Ca me faisait rire au début, à§a ne m’amuse plus beaucoup. »
Le 30 avril, Ménès annonce Beauvue… en Angleterre
Parler de manière affirmative, forcément, cela laisse des traces quand les annonces ne se vérifient pas. La preuve avec Claudio Beauvue, à l’époque attaquant de Guingamp. Lors d’une discussion avec des Twittos, Pierre Ménès assure que Beauvue « va aller en Angleterre ». Au final, c’est bien du côté de l’OL qu’il va s’engager, ce qui ne va pas empàªcher Pierre Ménès de s’en réjouir. Toujours sur Twitter, il estime que l’arrivée de Beauvue est une bonne opération et un « risque minime ». Un risque en tout cas pas payant pour le moment…
Le 12 août, Ménès très sceptique pour l’arrivée de Valbuena
Alors que Mathieu Valbuen opère un retour surprise en France du côté de l’OL, Pierre Ménès n’est pas forcément très chaud. Non pas que le talent du milieu offensif de l’équipe de Franc soit en cause, mais ce serait plutôt son salaire bien plus important que le reste du groupe qui pourrait poser problème : « Valbuena ne sera pas accueilli avec des feux de Bengale dans le vestiaire. C'est le moins qu'on puisse dire », annonce Ménès sur Canal Plus Sport. « Les joueurs lyonnais sont loin d’àªtre ravis. Je doute de la compatibilité avec Fekir », ajoute le consultant sur Twitter.
Le 21 septembre, Ménès s’en prend aux médecins de l’OL pour Gourcuff
Yoann Gourcuff a quitté l’OL cet été en fin de contrat, après une aventure de cinq ans marquée par les déceptions et les blessures récurrentes. Alors qu’il a retrouvé un point de chute à Rennes mais doit soigner un problème au pied diagnostiqué en Bretagne, Pierre Ménès s’étonne, au CFC, que le staff médical lyonnais n’ait pas vu ce problème qui semble dater : « C’est quand màªme bizarre de constater qu’il faut attendre que Gourcuff voit les médecins à Rennes pour déceler une fracture de fatigue à la voute plantaire. Grenier, ils ont mis huit mois à le remettre sur pied. J’ai l’impression qu’à Lyon, ils sont moins doués chez les médecins qu’à la formation. »
Le 28 novembre, Ménès envisage un départ de Fournier
La situation de Hubert Fournier devient de plus en plus critique entre une défaite contre la Gantoise en Ligue des champions et un revers à domicile contre Montpellier (4-2). Ce qui fait dire à Pierre ménès que Jean-Michel Aulas va peut-àªtre devoir trancher dans le vif. « Je ne sais pas si Jean-Michel Aulas va prendre des décisions, ce n’est pas son genre. Depuis qu’il est président de l’OL, Guy Stéphan a été le seul entraà®neur à se faire virer en cours de saison. Là , il va tout de màªme falloir d’urgence que Lyon trouve de nouvelles solutions. » Deux jours plus tard, Ménès se montre encore plus précis sur le problème Fournier : « Je crois que le vestiaire lyonnais reproche surtout à Hubert Fournier d’àªtre un peu trop cash devant les médias, mais de l’àªtre beaucoup moins face à eux dans le vestiaire. Je n’ai pas l’habitude de dire qu’il faut virer un entraà®neur, mais je crois que le divorce est consommé. En plus, je ne comprends pas certains de ses choix tactiques. »