OL : les trois symboles d’une équipe qui reste dans le doute (1-1)

Beauvue – Lacazette, toujours aussi décevant

Hubert Fournier n’a mis que 45 minutes à comprendre que l’association Beauvue – Lacazette n’allait pas trouver l’étincelle aujourd’hui. Certainement par souci de diplomatie, c’est l’ancien Guingampais qui a pris en cédant sa place, mais les deux attaquants lyonnais ont été aussi inoffensifs l’un que l’autre. L’entrée de Rachid Ghezzal a permis de dynamiser un peu plus l’attaque lyonnaise et d’offrir quelques opportunités à Lacazette. Mais c’est loin d’àªtre suffisant.

Darder se transforme en énigme

Les supporters lyonnais vont commencer à ce demander si le recrutement de l’Espagnol pour un gros montant (10 millions d’euros), était vraiment judicieux, tant Darder met du temps à convaincre et Ferri se montre toujours plus à l’aise quand il le remplace. Sur la pelouse monégasque, Sergi Darder n’a jamais joué dans le ton. Il est censé fluidifier le jeu lyonnais. Au final, il a beaucoup plus compliqué les choses, ralentissant parfois le ballon de manière agaà§ante. Fournier le lui a fait payer en le sortant dès la pause.

Si màªme Lopes commence à craquer…

Depuis le début de la saison passée, difficile de reprocher quoique ce soit à Anthony Lopes. Le gardien lyonnais est quasiment toujours irréprochable. Alors, quand il se loupe, cela se voit. Si Pasalic a pu ouvrir le score d’une belle reprise de la tàªte, c’est parce que le gardien lyonnais s’est complètement loupé sur sa sortie. Heureusement pour les Gones, il a retrouvé ensuite ses habits de sauveur habituels pour garder l’OL dans le match. Ce qui s’est finalement avéré payant.