par La rédaction

OL : un syndrome à exorciser

C’est devenu une mauvaise habitude depuis plus de dix ans : l’Olympique Lyonnais a du mal à assurer à la veille des départs en vacances.

Face à Nice ce samedi (20h), les Gones devront faire mentir des statistiques défavorables.

Avant les fêtes, l’OL fait souvent figure de dindon de la farce. Depuis le début des années 2000, les Rhodaniens ne se sont imposés que deux fois lors du dernier match de l’an. En 2008 sur la pelouse de Caen (victoire 1-0) et en 2000 lors du derby face à l’ASSE (victoire 2-1 à Gerland). Passé ces deux dates, le bilan est peu glorieux : 10 matchs, 6 nuls, 4 défaites. Sur les 11 derniers matchs, six ont eu lieu à domicile pour 2 défaites et 4 nuls.

A ce niveau, on peut parler de syndrome et Rémi Garde le reconnait sans peine : « Cette difficulté, je la constate. Pour l’expliquer, c’est un peu plus difficile ! En tout cas, je l’ai évoqué avec les joueurs » , assure le technicien. Contrairement au match de Toulouse où l’entraîneur lyonnais considérait que la mauvaise série était due au hasard, Garde estime qu’il y a « un travail à faire » pour éviter la décompression ce samedi : « Il y a une part d’inexplicable mais une part sur laquelle on peut agir. Il ne faut pas se croire en vacances. Ce n’est pas simplement le jour du match ! Il faut réaliser la chance que l’on a d’être à cette place seulement quatre ou cinq mois après le début de saison. Nous avons viré dans nos objectifs. Cela doit motiver les joueurs. » En espérant qu’au-delà des mots prononcés, il y aura des actes qui vont suivre…

A.C, à Tola Vologe

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C’est devenu une mauvaise habitude depuis plus de dix ans : l’Olympique Lyonnais a du mal à assurer à la veille des départs en vacances.

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