Depuis mardi dernier, on ne parle (presque) que de cela : la non-sélection de Samir Nasri par le sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps en vue de la phase finale de la Coupe du monde au mois de juin.
Sur son blog Yahoo, le journaliste de W9 Denis Balbir ne trouve pourtant rien à redire à l'absence du joueur de Manchester City, lequel ne s'est que rarement montré sous son meilleur joueur en sélection tricolore.
"On a fait tout un plat de l'absence de Nasri à la Coupe du monde sous prétexte qu'on se privait d'un élément créatif de qualité, voir un élément clé, fraîchement sacré champion d'Angleterre, vous vous rendez compte. Mais la vie de groupe, une vie saine et attirée par les mêmes objectifs, bref, le fameux collectif à plus de sens et de force que le talent individuel d'un milieu de terrain devenu hautain, égoïste et mal entouré. Et puis si Nasri a du talent, en Bleu de France, on attend toujours qu'il l'exprime. Nasri n'est ni Zidane, ni Maradona. Ne pas voir Nasri au Brésil empêche de dormir les puristes qui ont rompu le cordon avec la notion importantissime du collectif, parce qu'ils n'ont pas à gérer 23 hommes."
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Depuis mardi dernier, on ne parle (presque) que de cela : la non-sélection de Samir Nasri par le sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps.
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