par julien.demets

OM - EXCLU Faut-il craindre un huis clos ?

Ce jeudi soir, les dirigeants olympiens passent devant la Commission de Discipline pour les jets d'engins pyrotechniques et diverses bombes utilisées à Reims lors de l'ouverture du championnat.

Sous le coup d'un huis clos face à certains débordements estimés la saison passée, l'OM va devoir usé d'arguments convaincants pour ne pas se voir pénaliser d'un match sans supporter. Une sanction qui, si elle venait à se dessiner, renderait furieux les South Winners : "c’est n’importe quoi. Il y a eu quelques fumigènes et quelques pétards à Reims mais ça ne venait pas des groupes de supporters. Ceux qui ont fait ça étaient des indépendants, qui sont venus par leurs propres moyens. Comment peut-on pénaliser tous les supporters pour deux ou trois indépendants ?" .

"La police nous a félicité"

Il est vrai qu'il semble étonnant de voir l'OM convoqué pour ces agissements alors que ça fait maintenant plusieurs années que Guy Cazadamont, responsable de la sécurtié, reçoit les félicitations de la Ligue pour avoir assagit les tribunes du Stade Vélodrome. Les supporters avouent même avoir reçu "les félicitations des forces de l'ordre" pour bonne conduite. Les South Winners ont un argument tout trouvé pour expliquer cette convocation : "on est dans l'oeil du cyclone de la Ligue. Comme à son habitude, c’est l’OM qui trinque. Quand on voit ce que font les supporters stéphanois, lyonnais, bordelais ou encore bastiais dans les stades sans être sanctionnés, il y a de quoi être dégoûté" .

M.L.

 

 

 

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Pour résumer

Ce jeudi soir, les dirigeants olympiens, qui sont sous la menace d'un huis clos, passent devant la Commission de Discipline.

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julien.demets

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